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Les nouveautés de
Paul Stewart Gallery

Décembre 2023

Bientôt Noël !

Découvrez les dernières œuvres de notre catalogue et soutenez le travail de nos artistes en le partageant avec vos proches ! Voici les nouvelles œuvres de nos artistes talentueux, émergents et internationaux.

Artiste allemande

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Sea and Beyond, 2023 

120 x 180 x 4 cm

 

Peinture acrylique et encre sur toile

Manuela Karin Knaut, née en 1970, est une artiste indépendante résidant actuellement à Braunschweig, en Allemagne. Elle a acquis une maîtrise en Beaux-Arts à l'Université du Witswatersrand à Johannesburg, en Afrique du Sud.

Outre son studio et son atelier d'impression situés au centre de Braunschweig, elle possède également un studio à Johannesburg.

Elle a été membre du Bund Bildender Künstler (Association allemande des artistes visuels) et de l'Association Internationale des Arts Plastiques, ainsi que du Réseau des arts visuels d'Afrique du Sud (VANSA). Membre de l'International Womens Association, Photomuseum Braunschweig et GEDOK Niedersachsen.

Depuis 1990, diverses expositions nationales et internationales, notamment en Afrique du Sud, au Ghana, en Suisse, au Danemark, au Royaume-Uni, en Autriche, aux États-Unis, en Israël et au Kirghistan. Ses œuvres sont représentées dans le monde entier dans des collections publiques et privées.

 

Objectif principal.

Installations spécifiques et interventions sculpturales, peinture, photographie.

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Photographe belge

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Big Wheel Osaka, 2023 

75 x 50 x 00,05 cm

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Photo argentique et digital technique mixte, contrecollée sur dibond

Cécile Baldewyns est une artiste photographe autodidacte belge. Elle est née à Liège en 1974.

Elle débute la photographie il y a 7 ans après quelques années de peinture, une question de timing. Un besoin de création plus rapide et spontané. Elle aime raconter une histoire, son histoire, ses envies, ses peines, ses manques et ses silences. 

Le travail de Cécile Baldewyns aborde principalement l'autoportrait sous toutes ses formes. Improvisation, recherche et mises en scènes. Un travail journalier à l'écoute de ses émotions, une démarche conceptuelle qui lui apporte visibilité importante sur les réseaux sociaux.

L'artiste expose rarement, même en Belgique où elle réside, mais elle s'expose sur les réseaux sociaux où il est possible de se rendre compte de la qualité prolifique de son oeuvre. Narcissique, singulière, sensuelle et troublante, voilà comment définir la pratique photographique de Cécile Baldewyns.

L'artiste s'amuse de la gravité qui peut transparaître de ses poses alanguies, de ses mises en scènes dramatiques et des décors de friches ou de saltimbanques qui l'inspire et qu'elle affectionne. 

Mais est-ce vraiment si simple ? N'y aurait-il pas derrière ces centaines d'images bien autres choses qu'une règle du jeu à sens unique que Cécile Baldewyns nous imposent à demi-mots ? N'y aurait-il pas derrière les scénographies et les danses tourmentées comme un journal intime, et comme la trace des sentiments ondoyants d'une femme créatrice ?

Artiste canadienne

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Memories of a Broken Cello, 2023 

243 x 121 x 2 cm

 

Peinture : Acrylique sur toile.

J'ai toujours dessiné des portraits. De mes études scientifiques j'ai conservé un souci de rigueur que j'utilise dans le dessin et la composition de mes toiles.

A la fin des années 1990, j'ai travaillé dans plusieurs ateliers de peinture à Bruxelles. De retour en France, j'ai approfondi le dessin à la sanguine et au fusain en me concentrant sur le Portrait. Puis c'est dans l'atelier d'Hélène Legrand à St Germain-en-Laye que j'ai abordé la peinture à l'huile, à travers l'étude des maîtres (Raphaël, Léonard de Vinci, Le Caravage, Balthus, Picasso...).

Je me suis engagée alors dans un travail personnel. Je ne cherche pas à reproduire le réel mais plutôt à transposer ma vision dans une gamme qui m'est propre. je cherche à déchiffrer le portrait, à le raconter et à le réinventer.

Je mêle figuration et abstraction tout en puisant dans les techniques anciennes. C'est ainsi que je peux donner libre cours à mon imagination.

Je me concentre sur ce qu'il y a de plus vulnérable et sensible à mes yeux : le Portrait. Je surdimensionne mes personnages afin de créer un face-à-face direct. La technique n'est qu'un moyen pour m'aider à exprimer ce que je ressens et pour tenter de comprendre le portait.

Je crée un univers fragmenté que je pose sur des toiles que je fabrique, d'où émergent mes portraits. Je n'utilise pas le Portrait pour peindre mais je tente d'utiliser la peinture pour transcrire le Portrait tel qu'il m'apparaît.

Membre de la fondation Taylor, Sociétaire du Salon d'Automne, je participe régulièrement aux grands salons franciliens (Société Nationale des Beaux Arts, Salon d'Automne Champs-Elysées, Art Capital Grand Palais, Salon de l'Ecole Française, Biennale Salon Violet, Biennale de Versailles...). Plusieurs expositions personnelles m'ont également été consacrées.

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Femme de Goncourt - Julie Peiffer.jpg
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Photographe française

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> BEST SELLER <

La Femme Rousse, 2015 

80 x 80 x 2 cm

 

Photographie numérique contrecollée sur Dibond

ulie Peiffer, née en 1967 à Nancy, est une artiste-photographe française. Elle vit et travaille entre Paris et Nancy. Autodidacte, elle développe un travail artistique d’auteure, et s’intéresse aux évolutions de nos mondes parmi lesquelles l’invisibilité de la femme, l’espace urbain et l’écologie, dans une vision humaniste qui est à la fois documentaire et très personnelle.

Bien malgré elle, Julie Peiffer a connu une enfance en marge de la société à travers la France jusqu’à s’installer, un temps, du côté de Montpellier.

Elle débarque à Paris à 18 ans et commence à travailler notamment dans la presse magazine. En tant que rédactrice à Paris, elle voyage à New York et Londres.

Si ça n’est pas elle qui appuie alors sur le déclencheur des appareils photo, elle est au plus proche des photographes avec qui elle collabore, et valide chaque prise de vue. Un photographe lui offre un Nikon FM2. Des années durant, pendant qu’elle élève ses deux garçons, elle regarde l’appareil sans oser s’en saisir.

2015. Attentats de Charlie Hebdo. Elle attrape l’appareil avec un sentiment d’urgence. Il faut photographier la ville où disparaît la vie humaine. La nuit surtout. Depuis, toujours à l’affût des nouvelles façons de communiquer, elle est passée de la presse papier à la presse numérique, et comprend très vite l’intérêt d’Instagram, qu’elle utilise avec intelligence pour partager ses photos. C’est ainsi qu’elle est repérée dès 2015 par une galerie londonienne. Elle commence à exposer en 2017, puis sera représentée par Paul Stewart Gallery et compte des collectionneurs en France, au Canada, à Dubaï et en Australie.

Son travail fait l’objet d’expositions collectives et personnelles, ainsi que de publications.

Son regard questionne l’identité féminine. Cet intime inconnu. Comme une quête. Depuis toujours passionnée de danse, ses photos convoquent à la fois le corps et le langage du féminin. Son œuvre est gorgée de lumière, s’y mêlent une vitalité folle et une mélancolie des profondeurs, fondement de toute existence humaine.

Pour toutes informations concernant une œuvre ou un artiste, la galerie reste à votre disposition pendant les fêtes.

Email : paulstewartgallery@gmail.com

Téléphone : 00 33 + 685758350

Site : www.paulstewartgallery.com

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